97, rue H. Barbusse 92110 CLICHY

Distribution : HACHETTE | Diffusion : Réginald Gaillard | gaillard.reginald@gmail.com

A proposNous contacter

L’infiniment proche

7,0019,00

EDWARDS Michael
Parution janvier 2016
Disponible en version papier / numérique

UGS : ND Catégories : ,

Dans ce nouveau recueil, Michael Edwards, un des rares poètes à l’Académie française, fait alterner des poèmes de formes variées, dans un jeu de miroirs, avec des proses rythmées ou des versets, parfois véhéments, parfois drôles.

Edwards partage sa joie de suivre la langue en s’étonnant de ce qu’elle crée (sans donner dans l’arbitraire surréaliste) à l’instar du réel, qui, également résistant et accueillant, change sous un regard poétique.

La grande question, en effet : comment voir ? Son œil préféré est la métaphore, invention, dirait-on, non des rhétoriciens, mais d’une réalité désireuse de se révéler.

Le recueil explore sans cesse l’ample tapis volant du réel, la surprise qui attend dans chaque instant du vécu, le mystère immense et précis du monde et du moi.

Extrait :

Le visage futur de notre rencontre est hors de portée.
En cela, laisse à désirer : sa meilleure balise, de rencontre en rencontre.
Le cela seul de ce désir dont l’accomplissement tient à notre portée sa reconduction en ligne de fuite.

Vers ton visage, de cela ton image est garante, ma vie tout entière relance son élan inépuisable.
Inépuisable et non avide – de cela ton visage est garant :
dans la réponse de ce visage à mon visage, l’élan de ma vie est devenu inépuisable.

Informations complémentaires

Version

Papier, Numérique

112 p. broché
Parution janvier 2016

Dans ce nouveau recueil, Michael Edwards, un des rares poètes à l’Académie française, fait alterner des poèmes de formes variées, dans un jeu de miroirs, avec des proses rythmées ou des versets, parfois véhéments, parfois drôles.

Edwards partage sa joie de suivre la langue en s’étonnant de ce qu’elle crée (sans donner dans l’arbitraire surréaliste) à l’instar du réel, qui, également résistant et accueillant, change sous un regard poétique.

La grande question, en effet : comment voir ? Son œil préféré est la métaphore, invention, dirait-on, non des rhétoriciens, mais d’une réalité désireuse de se révéler.

Le recueil explore sans cesse l’ample tapis volant du réel, la surprise qui attend dans chaque instant du vécu, le mystère immense et précis du monde et du moi.